Les gens ne meurent pas du cancer, mais de la chimiothérapie



Le docteur Hardin B. Jones, professeur de physique médicale et de physiologie à l’université de Berkley, a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant près de vingt-cinq ans, et les conclusions de ses études sont consternantes !

Selon Hardin B. Jones, et contrairement à la propagande des lobbies pharmaceutiques de concert avec les gouvernements qui en tirent un large profit, les malades atteints du cancer ne meurent pas de la pathologie en elle-même, mais bel et bien du traitement.

En effet, selon ses analyses, les médicaments prescrits dans le cadre du traitement finissent par abréger la vie des patients plutôt que de les soulager. Durant les vingt-cinq années de son étude, les personnes ayant refusé le traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi de plus que celles qui l’ont accepté. Parmi elles, beaucoup mourraient dans les trois années qui suivirent le début de la chimiothérapie, et d’autres au bout de quelques semaines seulement.

De plus, les patientes atteintes d’un cancer du sein ayant rejeté le traitement vivent quatre fois plus longtemps que celles qui le commencent. Alors que des études avaient été menées en 1978, 1979 et 1980, prouvant que les médicaments utilisés dans le cadre de la chimiothérapie ne font en rien diminuer le taux de cellules cancéreuses et qu’ils n’améliorent pas non plus le taux de survie des patients diagnostiqués, cette vérité méconnue de tous profite bel et bien à une poignée.

En effet, le cancer est devenu une véritable industrie et une manne généreuse, car les médecins, les hôpitaux, les groupes pharmaceutiques en retirent un gain considérable chaque fois qu’une personne décide d’entamer un traitement. Ces gains s’élèvent dans beaucoup de cas à des millions de dollars.


07-04-2016471 Santé
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